
Photo : GB/Rue89Lyon
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[GRAPHIQUES] L'évolution de l'épidémie de Covid-19 en Auvergne-Rhône-Alpes continue de façon inquiétante. L'aggravation ces dernières semaines de certains indicateurs s'est brusquement traduite dans les hôpitaux. Les courbes des hospitalisations ressemblent par endroits à des "murs". Dans les métropoles, notamment à Saint-Étienne, la dynamique de l'épidémie s'envole.
[Data] Dans la Loire, les chiffres de l'épidémie de Covid-19 sont les plus élevés de la région Auvergne-Rhône-Alpes. En augmentation constante depuis la fin de l'été, le taux d'incidence atteint semaine après semaine son niveau le plus élevé depuis la sortie du confinement. Le 6 octobre, il approchait les 300 cas positifs pour 100 000 habitants. Dans les hôpitaux, la pression continue d'augmenter.
[Data] En Isère, l'évolution de l'épidémie de Covid-19 se dégrade lentement depuis la mi-aôut. Ces derniers jours elle a connu une accélération. Dans les hôpitaux, certains indicateurs sont proches des niveaux constatés au printemps pendant le confinement. L'évolution du taux d'incidence continuant d'augmenter, la situation ne devrait pas s'améliorer à court terme.
[Data] Ces derniers jours en Haute-Loire certains indicateurs de l'épidémie de Covid-19 se sont emballés. À la défaveur notamment de clusters dans des Ehpad, taux d'incidence et de positivité ont bondi. Et les indicateurs hospitaliers se sont de nouveau dégradés. Visualiser l'évolution de l'épidémie en graphique en Haute-Loire.
[DATA] L'avancée de l'épidémie de Covid-19 se poursuit en Auvergne-Rhône-Alpes. Les métropoles de Lyon, Grenoble et Saint-Etienne sont concernées par les mesures de couvre-feu annoncées mercredi 14 octobre. La semaine dernière, l'évolution globale dans le reste de la région était plutôt stable. Depuis, elle s'est très nettement dégradée. Dans certains départements de la région, des indicateurs dépassent les mesures du pic de mars 2020.
Cela date d'environ un an. Les vitrines des commerçantes et commerçants lyonnais se parent de panneaux publicitaires vidéos. Ces écrans tournés vers les passants se sont multipliés, notamment dans les rues de la Presqu'île ou de la Guillotière. A la Métropole comme à la Ville de Lyon, les nouveaux exécutifs écologistes souhaitent les interdire, malgré de sérieuses limites juridiques.