La mine fatiguée, capuche sur la tête, Bakary, 32 ans, porte une grande partie de ses affaires à la main. Il regarde l’immeuble de la préfecture du Rhône (Lyon 3ᵉ) et la cinquantaine d’autres personnes regroupées devant.
Elles sont venues réclamer une solution de relogement après l’incendie qui a touché, dans la nuit du lundi 2 au mardi 3 décembre, le squat Denuzières à Caluire où ils vivaient. Ils ont ensuite passé la nuit dans un gymnase de la ville. Mercredi 4 décembre, au matin, la police est venue les évacuer.
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