C’est un défilé bien connu des autorités. Depuis des années, les occupations, puis expulsions de squats, se succèdent à Lyon. Dans un triste jeu du chat et de la souris, des personnes sans-abri prennent possession illégalement d’un des milliers de logements inoccupés de la métropole de Lyon – on en comptait 18 000 en 2021. S’enchaînent ensuite des plaintes, puis des procès avant, enfin, des expulsions.
Mais, depuis un an, la pression sur les habitants – ou squatteurs pour les autorités – semble s’être accentuée. Une réalité d’autant plus prégnante pour les personnes migrantes, qui ont tendance à y chercher un toit.
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