On ne va pas se mentir, les Européennes sont probablement l’un des scrutins les moins « sexy » du calendrier électoral. Ancrage local inexistant, déficit de notoriété des têtes d’affiche, surenchère du nombre liste (38 cette année !), enjeux européens mal cernés… Les raisons sont nombreuses pour expliquer le désamour du vote européen auprès des électeurs (et des journalistes, il faut bien le reconnaître). Et pourtant.
Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, les élections européennes sont le deuxième scrutin le plus populaire de France, derrière l’élection présidentielle. Et les chiffres dans le Rhône et la Métropole de Lyon suivent ces tendances nationales.
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