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À l’université Lyon 3, une gestion bancale des violences sexistes et sexuelles

En mars 2024, la section disciplinaire de l’université Lyon 3 a relaxé un étudiant accusé d’agressions sexuelles et de propos sexistes par plusieurs étudiantes. Plusieurs dysfonctionnements internes durant le chemin pris par ce dossier mettent la lumière sur la prise en charge, encore partielle, des violences sexistes et sexuelles au sein de l’université.

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Un collage féministe devant l'université Lyon 3, le 25 avril 2024. ©DR
Un collage féministe devant l’université Lyon 3, le 25 avril 2024.

« Agresseurs sexuels : l’impunité règne à Lyon 3 ». Dans la nuit du 25 avril 2024, ce court message est collé près de l’entrée du campus de la Manufacture des tabacs de l’université Lyon 3. Quelques semaines auparavant, la section disciplinaire de l’établissement a relaxé un étudiant accusé d’agressions et de harcèlement sexuel.
Le résultat d’une procédure de six mois entamée par deux jeunes femmes, Lisa et Maya (prénoms modifiés). Pour que leur cas soit porté jusqu’à la section disciplinaire de l’université, elles se sont heurtées à plusieurs murs révélateurs d’une gestion a minima des violences sexistes et sexuelles (VSS) à l’université Lyon 3.

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