« Pendant des années, on entendait toujours ce même discours : il n’y a pas d’amiante », se remémore Jean-Paul Carret, porte parole l’Aper (Association prévenir et réparer), aujourd’hui retraité. Comme d’autres ex-salariés de l’usine de Vénissieux, il a mené « une longue bataille », pour faire reconnaitre les préjudices causés par l’amiante chez Renault Trucks.
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