« Est-ce que je peux avoir du sopalin s’il-te-plaît ? » Depuis qu’elle a franchi les portes du « réfectoire », Florence est sollicitée de toutes parts. Sur sa droite, un garçon lui présente fièrement sa nouvelle figurine, une petite grenouille qu’il agite avec enthousiasme. Ici, il faudrait des crayons et là encore un peu de sopalin. « C’est maman qui t’a demandé ? Dans quelle chambre tu es ? », questionne d’une voix douce cette ancienne institutrice, à peine retraitée.
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