Une chaîne de commandement qui déraille, un commissaire « autoritaire », une charge policière disproportionnée, et une retraitée, drapeau de la paix en main, qui convulse à terre, saignant de la tête. Le procès qui s’est tenu à Lyon, jeudi 11 janvier, a décortiqué par le menu les graves manquements dans le maintien de l’ordre et la chaîne de commandements qui ont conduit Geneviève Legay, militante pacifiste de 73 ans, à l’hôpital.
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