C’est le point d’orgue d’une procédure de plus de cinq ans, qui a vu les policiers lyonnais accumuler les auditions, perquisitions et visionnages de vidéos de caméras de surveillance, pour retrouver les auteurs d’un murage.
Dans la nuit du 9 au 10 avril 2018, cinq militants antifascistes lyonnais avaient monté un mur de parpaings à l’entrée du local du Bastion social, groupuscule d’extrême droite dissous par le gouvernement un an plus tard. Ils avaient également tagué le bâtiment à la peinture rouge pour identifier le lieu comme un « local fasciste ».
>
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Chargement des commentaires…