« On pourrait presque se croire en 1930. Même les platanes sont d’origine ! ».
Devant l’entrée de l’ancien foyer de jeunes filles, Lydia Pena continue de s’extasier. Ce n’est pas faute de connaître l’endroit par cœur. La présidente de l’association MémoireS et adhérente de Vive la TASE (en référence à la célèbre usine textile) a toujours vécu à Vaulx-en-Velin. Son école, aujourd’hui détruite, se trouvait de l’autre côté de la rue, juste en face du foyer Jeanne-d’Arc.
« A l’époque je passais devant tous les jours, sans savoir ce que c’était », poursuit-elle.
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