Lyon et les 17% d’Etienne Blanc au premier tour. La Métropole de Lyon, c’est évident. Avec 31 sièges pour Les Républicains (sans compter les élus issus des listes de Gérard Collomb) contre 40 en 2014 Mais il y a Bron, Villefranche-sur-Saône, Meyzieu, Saint-Priest, Tassin-la-demi-Lune, Tarare ou encore Francheville. Pour la droite, ces élections municipales 2020 dans le Rhône ont aussi parfois, souvent, rimé avec victoire.
La droite avait perdu Lyon officiellement en 2001. Peut-être même avant, à partir de 1995 et la montée en puissance des conseillers municipaux de gauche. Depuis son arrivée aux manettes, Gérard Collomb a ainsi privé ainsi la droite de la Métropole de Lyon où elle était pourtant majoritaire. Si la droite n’a pas réussi à gagner dans ces deux lieux de pouvoir et symboliques, elle garde une assez belle mine ailleurs dans le Rhône.
La droite souvent (très) bien réélue dans le Rhône
Il y a d’abord ses fiefs qu’elle a su conserver. Parfois sans conteste et dès le premier tour. Comme Caluire-et-Cuire avec Philippe Cochet, Rillieux-la-Pape avec Alexandre Vincendet, Décines-Charpieu avec Laurence Fautra, Villefranche-sur-Saône ou encore Tarare. Après la défaite de François-Noël Buffet à la Métropole de Lyon, Philippe Cochet et Alexandre Vincendet restent les hommes forts de la droite lyonnaise, sous la houlette de Laurent Wauquiez. Et une union, perdante, avec Gérard Collomb qui laissera des traces.

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