« Il y a eu énormément de mobilisation des associations et des services de l’État, on n’avait pas l’habitude ! »
Loïc Rey, président de la Croix-Rouge du Rhône, se montre plutôt enthousiaste. Son association a pu accueillir 60 personnes dans deux « centres d’hébergement spécialisés pour personnes contaminées non-graves du Covid » (d’abord appelés « centres de desserrement ») à Saint-Genis-Laval et Belleville-sur-Saône.
Aujourd’hui, le centre de Saint-Genis a fermé et il ne reste plus qu’une poignée de personnes dans celui de Belleville, en attente d’un autre hébergement.
Loïc Rey continue :
« La volonté politique de la Croix-Rouge, c’est que personne ne doit retourner à la rue ».
Un objectif pour l’instant réussi dans le Rhône – ce qui n’est pas le cas partout, comme chez le voisin isérois –, les personnes guéries accueillis dans ces centres ayant été relogées dans des structures du plan froid.
Lisez la suite pour 1€
En profitant de notre offre d’essai, résiliable en ligne à tout moment.
Pour accéder à cet article, il faut être abonné. Pourquoi ?
Les informations exclusives, les enquêtes et certains reportages constituent l’édition abonnés de Rue89 Lyon. En tant que média indépendant, nos ressources proviennent de nos lectrices et lecteurs abonnés, aucun milliardaire ni groupe bancaire ne nous finance.
Nous demandons à nos lecteurs une faible contribution pour disposer à Lyon d’un média critique des pouvoirs, capable d’enquêter et de traiter les enjeux locaux en profondeur et dans la durée.
Chaque abonnement compte. Toutes nos recettes sont investies dans un journalisme local indépendant, dont la force et la réactivité dépend directement du nombre d’abonnés actifs.
Chargement des commentaires…