« Il y a eu énormément de mobilisation des associations et des services de l’État, on n’avait pas l’habitude ! »
Loïc Rey, président de la Croix-Rouge du Rhône, se montre plutôt enthousiaste. Son association a pu accueillir 60 personnes dans deux « centres d’hébergement spécialisés pour personnes contaminées non-graves du Covid » (d’abord appelés « centres de desserrement ») à Saint-Genis-Laval et Belleville-sur-Saône.
Aujourd’hui, le centre de Saint-Genis a fermé et il ne reste plus qu’une poignée de personnes dans celui de Belleville, en attente d’un autre hébergement.
Loïc Rey continue :
« La volonté politique de la Croix-Rouge, c’est que personne ne doit retourner à la rue ».
Un objectif pour l’instant réussi dans le Rhône – ce qui n’est pas le cas partout, comme chez le voisin isérois –, les personnes guéries accueillis dans ces centres ayant été relogées dans des structures du plan froid.
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