«En temps normal, je suis souvent considérée comme un centre d’intérêt. Tout le monde veut m’avoir à sa table un soir du ramadan. Je suis invitée partout : chez des amies d’enfance, chez la directrice de mon association… Rares sont les soirées où je suis seule» s’amuse Lia*, convertie à l’islam depuis cinq ans et demi.
Professeure d’arabe et de Coran à la Mosquée Al Furqan de Vénissieux et à la madrassa (école) de Villeurbanne, elle est d’ordinaire l’invitée des croyants qu’elle fréquente dans ce cadre. Mais avec l’irruption du Covid-19, les cartons d’invitations se font rares.
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