« Les finances des collectivités locales, en particulier leurs capacités d’autofinancement vont être profondément touchées, avec pour conséquence une contraction de leur investissement. Dans ce contexte le bouclage du périphérique ne peut plus être une réalisation envisageable en l’état même si ses finalités demeurent pertinentes (…) »
Voilà, c’est fini. Les derniers défenseurs du projet Anneau des sciences l’abandonnent aussi. Dans un communiqué envoyé ce mardi 19 mai, Gérard Collomb le juge lui aussi inenvisageable désormais. Cosignent avec lui, non pas tout son mouvement « Un temps d’avance », mais seulement quelques élus.
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