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« Je n’ai pas l’argent. Ou alors, mon épouse devra vendre un bien immobilier à perte. » C’est l’argument soulevé par Philippe Cochet devant la cour d’appel saisie en référé, pour ne pas avoir à payer la somme de 90 000 € qu’il a été condamné à régler à une ancienne assistante parlementaire, par le conseil des prud’hommes de Lyon.
(…)
C’est sur le fondement de « travail égal, salaire égal », que l’ancienne attachée parlementaire avait obtenu la condamnation de Philippe Cochet à lui verser la somme, outre 3 000 € au titre de l’« atteinte au principe d’égalité de traitement » entre elle-même et Lætitia Cochet, l’épouse, assistante parlementaire de son mari, laquelle percevait 5 593 € (brut) mensuel pour un trois-quarts de temps.
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