On vous a tout expliqué par ici, avec un règlement à lire consciencieusement pour ne pas passer à côté du calendrier.
Il ne vous reste plus qu’un petit mois pour vous inscrire (jusqu’au 25 août), mais vous aurez jusqu’au mois d’octobre en revanche pour envoyer votre nouvelle qui devra être spécialement rédigée pour que notre jury puisse la lire attentivement.
Parmi les membres, dont on vous fait la liste toute brillante (les auteurs Alexis Jenni, Emmanuelle Pireyre, Emanuel Campo, Cyrille Bonin, directeur du Transbordeur, Pierre-Jean Balzan, éditeur, la libraire Elsa Houzelles, Audrey Burki, bibliothécaire, Pascale Fougère et Catherine Panassier de la Métropole de Lyon), certains ont donné quelques conseils d’écriture.
Succincts mais précis, précieux. Et merci.
Et, si besoin, « réécrire »
Pour Emanuel Campo, auteur du recueil « Faut bien manger », la direction à prendre doit être claire :
« Un mot pour ceux qui hésitent. Qu’il ne faut pas participer par opportunisme. Si le thème, le format ou les modalités du concours sont contraignants, ne pas faire son forceur, ça risque d’amener de la frustration si on n’est pas sélectionné. Autant mettre son énergie et son talent dans ce qu’on sait faire. Ça fera gagner du temps.
Et pour ceux qui veulent participer, j’ai envie de partager une citation que j’ai entendue un jour à la radio. Je ne sais pas qui est son auteur ou qui était l’invité mais j’ai entendu : ‘On n’écrit jamais sur un sujet, on écrit submergé par un sujet’. »
Emmanuelle Pireyre, auteure d’un excellent roman à paraître en août (« Chimère ») nous et vous dit :
« Lire. Et ne pas se contenter de la première version. Réécrire. »
À bientôt de vous lire.
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