Les élus ont quasi tous réagi officiellement via des communiqués tombés en pluie dès samedi matin.
Les candidats aux élections régionales en tête, suspendant leur campagne, puis les maires des villes (dont Gérard Collomb pour Lyon), pour prendre des mesures de sécurité, préconisées mais non rendues obligatoires par le préfet de région.
Après les attentats survenus vendredi soir à Paris et à Saint-Denis, de nombreux mouvements de solidarité ont été lancés sans appel particulier dans les villes de France.
Dans la ville, des bougies ont été posées sur les rebords des fenêtres. Comme un soir de 8 décembre.
Émotion et recueillement à #Lyon #JeSuisParis #PrayforParis pic.twitter.com/rRqlwNJ652
— Tonolli Angelo (@angelo_tonolli) November 14, 2015
Dès 17h, plusieurs personnes se sont rassemblées place Bellecour (Lyon 2è), de façon spontanée. La place des Terreaux, dans le 1er arrondissement, a également vu des gens s’attrouper en signe de solidarité. Pas de gros rassemblement massif comme à Strasbourg, par exemple.
Solidarité avec les parisiens à #Lyon, place Bellecour #PrayForPeace #ParisAttacks pic.twitter.com/sApmqKUWRT
— Alexandre Goulfier (@alexgoulfier) November 14, 2015
De nombreux acteurs culturels de Lyon, et notamment ceux des musiques actuelles (Transbordeur où un concert du Riddim collision festival a été annulé), ont exprimé sur les réseaux sociaux leur solidarité avec leurs collègues du Bataclan.
L’extrême droite, notamment sa frange la plus radicale, s’est saisie sans tarder des événements tragiques survenus vendredi soir à Paris et à Saint-Denis.
Les identitaires de Lyon ont tenté de mener une manifestation ce samedi après-midi, que le préfet Michel Delpuech a interdite.
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