RANK’N’OL #44.
1. Anthony Lopes : il faisait peu de doutes que Vercoutre était à la merci de la moindre entorse. Si Lopès prenait le pouvoir, il ne le lâcherait plus. Le semestre d’indisponibilité du taulier aura au moins l’avantage d’éviter l’affront. À moins que le jeune gardien ne déçoive. Mais on n’y croit pas vraiment. Déjà, parce qu’il est taillé pour le Rank. La preuve : trois matchs, trois citations (après Nice et Kiryat Shmona). Il faut dire qu’il a suffisamment de talent pour grappiller de l’indice Juninho, qu’il a passé une partie de sa jeunesse dans le Virage Nord, ce qui lui garantit du Govou à pleines brassées, et que sa nationalité portugaise ne peut pas laisser indifférent qui veut lui donner du bonus Tiago. Alors pourquoi « seulement » 4 d’indice Lacombe ? Parce qu’on a beau être un vrai Gone (né à Givors, arrivé à l’OL à 11 ans), faire patienter son monde de la sorte avant de signer une prolongation de contrat, c’est une faute de goût. Et ce n’est pas l’ambition de trouver une place de n°1 qu’on reproche à Lopes. C’est d’en avoir douté. Alors que tout le monde savait.
2. Steed Malbranque : on en arrive à un moment de la saison où Malbranque se met à jouer plus qu’un match. Steed rejoue sa carrière.
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