L’étude Aphekom évalue les effets de la pollution atmosphérique urbaine sur la santé dans neuf villes françaises dont Lyon. Si le niveau moyen de particules fines PM 2,5 les plus dangereuses respectaient les valeurs recommandées par l’OMS, les lyonnais gagneraient 5,7 mois d’espérance de vie. 3000 décès pourraient être évités en France dont 280 à Lyon.
La pollution de l’air réduit l’espérance de vie des lyonnais de six mois
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