C’est à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry que la grève des agents de sûreté aéroportuaire, qui dure depuis cinq jours, est la plus suivie en France. Et pour assurer les 149 vols programmés ce mardi, la direction de l’aéroport de Lyon a indiqué avoir fait appel à d’autres agences de sûreté. Mais selon les syndicats de l’a Brink’s, société de gardiennage et de sécurité, ces employés relais n’auraient pas toutes les qualifications requises pour travailler dans les zones sécurisées. L’inspection du travail a déclaré à l’AFP qu’elle comptait réaliser des contrôles.
Un médiateur était sur place mardi pour rencontrer la direction et les syndicats de la Brink’s. Sous la pression du président de la République Nicolas Sarkozy, qui prend le dossier très à coeur, le gouvernement avait émis hier la possibilité de faire appel à des policiers, ou des militaires, pour se substituer aux agents grévistes.
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