La Cour d’appel de Grenoble a relaxé, jeudi, pour des vices de procédures, un habitant de la Drôme qui avait envoyé 11 e-mails graveleux à Rachida Dati en octobre 2010. Condamné à 100 euros avec sursis, il avait expliqué lors de son procès en première instance, qu’il s’était inspiré du lapsus de l’ex-ministre de la Justice qui, en septembre 2010, sur le plateau de Dimanche+ avait confondu « inflation » et « fellation ». La PJ avait été saisie de l’affaire. L’homme placé en garde-à-vue pendant 28 heures avait été libéré sous contrôle judiciaire.
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