Il s’agit d’un cas d’école des ratés de la décentralisation conjugués à l’épineuse question des emprunts toxiques des collectivités. L’Ain a beau être l’un des départements les plus riches de France (par personne), les finances du conseil général sont plombées. Il ne peut donc pas recruter les pompiers professionnels (qui sont devenus des fonctionnaires territoriaux) nécessaires alors que les interventions augmentent du fait de l’accroissement de la population. Conclusion : mieux vaut ne pas avoir à composer le 18.
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