Parmi les graffeuses et graffeurs, des artistes émérites, issu·es de domaines aussi variés que la BD, le documentaire, l’animation numérique et la littérature seront invités. Pour cette édition, le festival aborde quatre thèmes principaux au travers de sa programmation : les nouvelles technologies, l’écologie, les regards féminins et l’abstraction.
La Halle Debourg offrira à voir un pêle-mêle d’artistes aux inspirations diverses : Lady Bug, street-artiste nantaise passionnée par le continent africain qui dessine des visages géants faits de minuscules points, mais aussi la « maroufleuse » Madame, qui détourne avec extravagance photographies, gravures anciennes et illustrations dadaïstes, ou encore le toulousain Lenz, délaissant les aérosols pour les pièces de Légo.
Un festival « Peinture Fraîche » très high tech
Le public pourra s’essayer au graffiti sur tablette, les créations seront projetées sur les murs de la Halle Debourg. Dans la zone ateliers, outre les démos et customisations réalisées par les artistes, il sera aussi possible de colorier en réalité augmentée.
Des jeux vidéos disponibles sur des bornes interactives offriront la possibilité de découvrir les créations du festival de manière ludique. C’est en avant première que le public pourra essayer « Zdey The Game », par le street-artist Tim Zdey : Il s’agit d’un jeu de plateforme en 2D inspiration rétro dans lequel le joueur incarne le graffeur au cœur du métro parisien.
Le public pourra aussi s’amuser « IRL », (ou dans la vie réelle pour les non-joueurs). Comme l’année passé, il sera possible d’exprimer sa créativité sur le mur extérieur de la Halle Debourg.
Plus d’informations et billetterie.
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