[Mise à jour le 16 août] L’alerte pollution a été levé le soir du dimanche 15 août par le préfet du Rhône
Mis à part un épisode mi-juin, Lyon avait été épargnée jusque là par la pollution à l’ozone qui est malheureusement désormais un classique de la vie en ville en été.
Comme cette pollution à l’ozone est une pollution secondaire d’été due à l’interaction entre les rayons du soleil et les polluants émis par les véhicules, la météo maussade de juillet a préservé l’agglomération de ce type de pic de pollution. Ce qui n’enlève pas une pollution de fond, beau au mauvais temps.
Particularité de cet épisode de pollution : le pic d’ozone devrait être combiné à un « épisode de poussières désertiques » à partir de jeudi, selon Atmo Auvergne Rhône-Alpes, avec des températures avoisinant les 35 degrés.
Outre le bassin lyonnais Nord Isère, la zone des coteaux, l’ouest de l’Ain, la vallée du Rhône, le bassin grenoblois et la zone alpine Isère sont concernés.
Pic de pollution à Lyon mais pas de mesures contraignantes
En activant seulement le niveau « information-recommandation », le préfet du Rhône n’a pas, pour le moment, pris de mesures contraignantes (comme la limitation de la vitesse et/ou la circulation différenciée). Il s’agit seulement de « recommandations sanitaires et comportementales ».
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