C’est dit comme un murmure dans la ville et au-delà de ses frontières, cette édition 2019 de la Biennale d’art contemporain a pris une particulière intensité dans sa partie déployée au sein des anciennes usines Fagor-Brandt à Gerland. D’aucuns estiment aussi que l’exposition des œuvres serait même écrasée par ce lieu. Sentiment que l’on ne partage pas car, à l’inverse, il est assez remarquable de voir à quel point les artistes invités se sont saisis de l’histoire et du patrimoine industriels détenus entre ces hauts murs.
Mettez de bonnes chaussures car le parcours est long ; allez voir ce qui se passe de ce côté du 7è arrondissement moins fréquenté que la Guill’ ou Jean-Macé -sans oublier que la Biennale s’étend aussi au musée d’art contemporain et ce, jusqu’au 5 janvier.
Pour avoir quelques aperçus originaux, écoutez les critiques des étudiants de la Classe d’orientation et de préparation (COP) de la CinéFabrique (école de cinéma à Lyon), encadrés par Rue89Lyon.
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