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Exil et transe, un démarrage engagé aux Subsistances à Lyon

Ce qui est formidable dans le concept de rentrée, ce sont tous les possibles qui s’ouvrent à nous : ne dit-on pas « Septembre emporte les ponts ou tarit les sources » ?

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Wael Alkak ©Anne Volery-Lazghab

L’heure des choix, tout simplement. Par exemple, vous pourriez faire le suivant, parmi toute l’offre culturelle qui s’offre à vous :

« Party en exil » – aux Subsistances

Wael Alkak ©Anne Volery-Lazghab

Un difficile exercice que celui du lancement de saison pour une institution culturelle. Aux Subsistances, elle est d’autant plus particulière que ce haut lieu de la création accueille son nouveau directeur. Pour l’occasion, Stéphane Malfettes pose sa marque dès le départ. Il a ainsi choisi de lancer avec force et engagement le premier volet du projet « Party en exil », une série d’invitations faits à de multiples artistes que Les Subs ont conçues avec « l’Atelier des artistes en exil« . Les artistes (plasticiens, chorégraphes, danseurs, metteurs en scène) viennent du monde entier et ont récemment trouvé refuge en France.

En septembre, go pour un concert électro-châabi par le musicien syrien Wael Alkak, de quoi nous mettre en transe, sans déconner. On pourra voir aussi ce même soir le plasticien et performeur Yannos Majestikos, venu de Kinshasa en République Démocratique du Congo. Il accomplira sous la Verrière des Subs une forme scénique avec des hommes-téléviseurs. En transe, on vous a dit.


Le jeudi 26 septembre à 19 heures, aux Subsistances.


#Chaâbi

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Photo : LB/Rue89Lyon

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