L’hiver 2017 promet d’être la saison de tous les records.
Après un premier pic de pollution de 16 jours et un épisode de janvier où l’on a enregistré des niveaux jamais égalés de particules fines, Lyon connaît un quatrième pic de pollution.
Depuis le 14 février, ATMO Auvergne-Rhône-Alpes a enregistré des dépassement du seuil d’information de 50 microgrammes par m3 dans deux zones, outre le bassin lyonnais/Nord-Isère :
- l’ouest de l’Ain
- la Vallée de l’Arve.
La préfecture du Rhône a, pour l’instant, déclenché le premier niveau du dispositif anti-pollution, le niveau information. Le suivant étant le niveau alerte.
Pollution aux particules fines : mêmes causes, mêmes effets
On peut faire un copier-coller pour les causes.
Selon le communiqué ATMO Auvergne-Rhône-Alpes, la qualité de l’air s’est dégradée du fait de « la présence de couches d’inversion de température, piégeant les polluants à faible altitude ». Ce qui provoque une nouvelle hausse des niveaux de particules sur plusieurs zones.
Les sources de pollution aux particules fines sont toujours :
• le trafic routier, surtout les moteurs diesel
• les activités industrielles
• le chauffage au bois non-performant
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