Pendant ces neuf mois, Adisor Ionescu offrait des fleurs à chaque pièce ou cigarette qu’on lui donnait. Le Progrès avait raconté son histoire.
Un jour de mars 2014, il a été sauvagement battu et son canapé de recup’ brûlé. La solidarité du quartier s’est activée autour de celui qui a été surnommé le « sans-abri aux fleurs ».
Finalement Adisor Ionescu a été relogé par le père Bernard Devert, le fondateur de l’association Habitat et Humanisme après la lecture d’un autre article.
Depuis, à chaque début d’année, il vient adresser ses vœux aux habitants du quartier. Il placarde un petit mot en souvenir de l’aide reçue de la part d’habitants du quartier. C’était le cas en 2015. Cette année encore il n’a pas dérogé à sa tradition, sur du papier de Noël fleuri.
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