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Dans un communiqué diffusé jeudi soir, le syndicat annonce qu’il suspend son plan de continuation du groupe chimique qui emploie 1 300 personnes en France notamment à Lyon où se trouve son siège social, à Saint-Fons et à Balan.
« Manque de volonté politique, absence de communauté d’intérêts, manque d’attrait pour un actionnariat vertueux et défaut de management crédible, les fondamentaux du projet Phoenix ne sont pas réunis », estime la CGT qui ne portera pas au tribunal de commerce son plan.
Il ne reste donc plus que deux candidats en lice pour la reprise de Kem One : l’industriel Alain de Krassny, propriétaire du groupe autrichien Donau Chimie et le fonds d’investissement américain Open Gate Capital. Le tribunal de commerce de Lyon se prononcera le 12 décembre.
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