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Au milieu des livres, dans son bureau de l’Institut d’Asie orientale (IAO) à Lyon, François Guillemot colle à l’image de l’historien au CNRS qu’il est devenu. Davantage qu’au « Fanfan » du groupe Bérurier Noir qui conquit la jeunesse punk des années 80 et mit la police en émoi.
A 50 ans, tempes grisonnantes et allure sport chic, ce père de quatre enfants, marié deux fois à des Vietnamiennes, revient sur son adolescence dans les squats parisiens. Puis la grande époque des « Bérus », leur « autodissolution » à l’Olympia fin 1989, leur reformation en 2003, et l’autre « dissolution » de 2006.
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