Cette fois-ci, tout le monde a pu danser. Pour la dernière opération de « testing » de l’association SOS Racisme Rhône-Alpes, trois discothèques de l’Ain ont été mises à l’épreuve dans la nuit de samedi. Surprise, aucune discrimination à l’entrée n’a été constatée par les deux groupes de fêtards, composés de jeunes hommes et femmes d’origine maghrébine et européenne. L’association s’est félicitée de ce résultat mais entend rester « vigilante ».
Elle compte poursuivre ce type de tests dans la région – la méthode, utilisée depuis 1995, a été légalisée en 2006 avec la loi sur l’égalité des chances.
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