Des chercheurs du CEA (Commissariat à l’Énergie Atomique) et de l’Université Joseph Fourier, à Grenoble, viennent de confirmer ce que certains scientifiques et les plus farouches adversaires des nanotechnologies, comme le groupe Pièce et Main d’Oeuvre, disent depuis de nombreuses années : les nanoparticules ont des effets nocifs. L’étude portait sur des particules de dioxyde de titane que l’on retrouve dans les crèmes solaires ou dans les peintures. Les chercheurs grenoblois ont conclu dans un communiqué qu’ »elles altèrent une barrière physiologique essentielle pour la protection du cerveau : la barrière hémato-encéphalique ». Ce qui pourrait « entraîner leur accumulation dans le cerveau avec un risque de perturbation de certaines fonctions cérébrales ».
Les effets nocifs de nanoparticules reconnus
Des chercheurs du CEA (Commissariat à l’Énergie Atomique) et de l’Université Joseph Fourier, à Grenoble, viennent de confirmer ce que certains scientifiques et les plus farouches adversaires des nanotechnologies, comme le groupe Pièce et Main d’Oeuvre, disent depuis de nombreuses années : les nanoparticules ont des effets nocifs. L’étude portait sur des particules de dioxyde …
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