Avec pour guide Lucius Munatius Plancus, le fondateur de Lugdunum, « Les Rues de Lyon » brosse à grands traits l’histoire de Lyon jusqu’à Mai 68. Après, il faut aller sur Internet.
On apprend notamment que Lyon a été fondée en – 43 av. JC par le fameux Lucius Munatius Plancus (ce qui veut dire « pied plat » et non autre chose), que la ville a été annexée en 1312 par le Royaume de France et qu’elle a commencé à travailler la soie dès 1536 grâce à François 1er.
Bref, autant d’événements clés que vous pourrez ressortir pour « faire le malin en société » comme le suggère « Les Rues de Lyon ».
Et pour ce numéro rétrospective, la BD est en ligne sur calameo.
Mais le plus agréable, c’est peut-être encore de l’acheter chez votre libraire.
La liste des points de vente est ici.
Et voici les auteurs de cette « histoire de Lyon » tels qu’ils se présentent :
- Olivier Jouvray (scénario)
Il est scénariste de bande dessinée depuis 2002, professeur de bande dessinée à l’école Emile Cohl depuis 2006 et président de l’Épicerie Séquentielle depuis trop longtemps. Il est surtout connu pour la série Lincoln. Olivier travaille depuis 1999 au sein de l’atelier KCS. - Lilas Cognet (dessin et couleurs)
En juin 2015, alors que nous sommes tous justes diplômés de l’école Emile Cohl, nous créons avec onze de mes amis dessinateurs, l’atelier Millefeuille. Je pratique l’illustration jeunesse et la bande dessinée. Et quand je ne suis pas à l’atelier, j’enseigne avec plaisir le dessin d’objet et de plâtre à l’école Emile Cohl. En 2014, j’ai participé à la création de séquences animées pour le documentaire « Thorium, la face gâchée du nucléaire » réalisé par Myriam Tonelotto.
Pour rappel, l’ambition des « Les Rues de Lyon » :
C’est de « réintégrer l’auteur dans un circuit de proximité », comme pour les légumes. Mais aussi de pouvoir être « fier d’être lyonnais » en dehors « de la bouffe et du foot » explique Olivier Jouvray.
Sur les ventes :
• 1/3 va à l’auteur.
• 1/3 va au revendeur (pour les ventes en librairies)
• Le reste va à l’association « l’Épicerie Séquentielle, pour financer d’autres projets et surtout payer une réimpression si le stock s’épuise.
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